Comment se souvenir ?
Barricade
Elsa Brès et les élèves de CM2 B
de l’école élémentaire Fessart, Paris 19ème
Atelier du 14 au 31 janvier 2019
Dans leur classe, les élèves ont construit une barricade. D'un espace quotidien vers un espace de fiction, c'est le pouvoir de transformation par le groupe qui est en jeu dans le film. Peu à peu, cadrage, lumière et voix off ont métamorphosé la barricade en un paysage montagneux. Les élèves se sont appropriés leur classe et l’ont réinventée.

Ce film a été réalisé par Elsa Brès avec :
Judith Alquier,
Joachim Bober,
Martha Brisset,
Alexandre Cauwet,
Eva Clery,
Alice Dannay,
Ambre Delorme,
Sadio Diallo,
William Diez,
Mirko Gaudard,
Inès Geffroy,
Teddy Giunta,
Johar Houires,
Fany Kasprowicz,
Assya Khalifa,
Louise Lengline,
Virgile Mancini Hugon,
Arthur Mouly,
Gian Rouhi,
Jessica Sanchez Castaneda,
Sofia Serea,
Luna Soler,
Yaelle Valette,
Christophe Wu,
Delphine Zhang
Et l'enseignante Stéphanie Idbelkas.
« Le travail dans l'espace a permis de se poser la question du déplacement d'une configuration établie, d'un espace quotidien vers un espace de fiction, et ce grâce au cinéma. »
Elsa Brès,
vidéaste et plasticienne


« Cela a permis à la classe de devenir un groupe plus solidaire, certains élèves ont pu s’affirmer davantage dans ce type de projet que dans les enseignements traditionnels. »
Stéphanie Idbelkas, enseignante
Barricade
Elsa Brès et les élèves de CM2 B
de l’école élémentaire Fessart, Paris 19ème
Atelier du 14 au 31 janvier 2019
Dans leur classe, les élèves ont construit une barricade. D'un espace quotidien vers un espace de fiction, c'est le pouvoir de transformation par le groupe qui est en jeu dans le film. Peu à peu, cadrage, lumière et voix off ont métamorphosé la barricade en un paysage montagneux. Les élèves se sont appropriés leur classe et l’ont réinventée.

Ce film a été réalisé par Elsa Brès avec :
Judith Alquier,
Joachim Bober,
Martha Brisset,
Alexandre Cauwet,
Eva Clery,
Alice Dannay,
Ambre Delorme,
Sadio Diallo,
William Diez,
Mirko Gaudard,
Inès Geffroy,
Teddy Giunta,
Johar Houires,
Fany Kasprowicz,
Assya Khalifa,
Louise Lengline,
Virgile Mancini Hugon,
Arthur Mouly,
Gian Rouhi,
Jessica Sanchez Castaneda,
Sofia Serea,
Luna Soler,
Yaelle Valette,
Christophe Wu,
Delphine Zhang
Et l'enseignante Stéphanie Idbelkas.
« Le travail dans l'espace a permis de se poser la question du déplacement d'une configuration établie, d'un espace quotidien vers un espace de fiction, et ce grâce au cinéma. »
Elsa Brès,
vidéaste et plasticienne

Oser l'impossible
2019-2020
Verre… un monde meilleur
Si j’étais une petite herbe
Si j’étais une petite herbe
Laura Burucoa et les élèves UPE2A
du collège Jean Jaurès, Clichy
Atelier du 20 au 30 janvier 2025
Et si on écoutait les mauvaises herbes, qu’auraient-elles à nous apprendre ? Notre film les recueille à la nuit tombée, alors qu’elles profitent du calme pour se réunir et échanger sur leur quotidien. Arrachées ou aspergées de produits chimiques, constamment reléguées au statut de plantes invasives, elles osent enfin affirmer leurs bienfaits pour notre écosystème. Grâce à un travail plastique, littéraire et sonore et l’apport de nos différentes langues natales, nous avons redonné une voix aux adventices, injustement appelées les mauvaises herbes.

Ce film a été réalisé par Laura Burucoa avec :
Fares, Alicia, Idelce, Khady, Martin, Mohamed, Samy, Yanel, Alison, Hassane, Marie-Denise, Douae, Zinab, Dounia, Amine, Mohamed, Fatoumata, Linna, Suleiman Chokri, Yirui, Elian
et l’enseignante Nadjiba Kebir
« Sur le tournage, au moment d’animer nos mauvaises herbes, je garde en souvenir beaucoup de rires, de celui qu’on glousse quand on est gêné·e au gros fou rire quand on se prend un peu trop au jeu. Au fur et à mesure de l’atelier et des idées qui ont émergées, nos plantes se sont mises à se confier, pleurer, se disputer pour mieux se réconforter et certaines se sont même mises à chanter. »
Laura Burucoa, artiste
« L’atelier a permis de sensibiliser les élèves aux problèmes de l’environnement et à la biodiversité. Ensemble, ils ont imaginé la vie de ces herbes mal-aimées soumises à des stéréotypes et des préjugés non-fondés. Cela a été l’occasion de réfléchir au vivre ensemble et à la tolérance et également d’exprimer la souffrance des plantes dans toutes les langues parlées dans la classe. »
Nadjiba Kebir, enseignante

« J’ai compris qu’il fallait donner une seconde chance aux herbes mal-aimées et pour ça, on a fait un film, pour montrer qu’elles ne sont pas mauvaises. »
Amine